J'étais tranquillement sur le canapé, entrain de regarder la télévision. Quentin était certainement parti retrouver Kristen, sûrement s'était-ils remis ensemble ? Je ne savais pas. Soudain, je le vis rentrer par la porte d'entrée. Ce qui voulait dire qu'il avait cassé avec Kristen ? J'eus un grand sourire sur les lèvres rien qu'à y penser. C'était presque trop beau pour être vrai. Et puis, j'étais heureuse moi aussi. J'aimais Leonardo, mais on ne se voyait plus trop en ce moment et il me manquait une présence. Quentin ferait l'affaire en tant qu'amuse gueule. Il s'assit à côté de moi.

- Coucou. J'ai fait un... Break avec Kristen, j'ai besoin de savoir où j'en suit. Tu voudras bien de moi cette nuit ?

Oh, bien sûr que je voulais de toi chéri ! J'explosai de rire, mais intérieurement bien sûr. Pauvre Kristen. Dommage pour toi, je suis sans pitié... Je lui passai la main dans les cheveux tout en lui souriant.

- Bien sûr que je veux de toi, mon amour. Je suis désolée pour ce qui s'est passé avec Kristen.

Je n'étais en réalité pas désolée du tout. Juste très heureuse d'avoir réussi mon coup. Je pris son menton et l'embrassa tendrement. Puis, je retirai ma nuisette. Quentin eut l'air étonné, mais il ne pouvait qu'apprécier. C'était ça la différence entre Kristen et moi, ce pourquoi il hésitait tant. Moi, j'osais. Je lui sussurait dans l'oreille " Je suis tellement heureuse que tu m'aies choisi Quentin... " et il me rendit mon baiser.

- Bien sûr que je veux de toi, mon amour. Je suis désolée pour ce qui s'est passé avec Kristen.

Elle prit mon menton entre ses mains et m'embrassa. Soudain, elle retira sa nuisette, à ma plus grande surprize. Elle me dit à l'oreille " Je suis tellement heureuse que tu m'aies choisie Quentin... ". Je lui rendis alors son baiser. Mais ça allait trop vite, ce n'était pas comme ça que je voyais les choses. J'avais envie de parler avec elle, de la découvrir sous d'autres facettes.

- Hey Marie, pas trop vite ! Je rit. Tu sais, moi je n'apprécie pas de faire du mal à Kristen je...

Mais elle continuait. Elle me prit presque de force, me jeta sur le canapé, commença à m'enlever mes vêtements. Cette fois ci s'en était trop.

- Mais enfin, arrête ! Tu sais quoi ? Je m'en vais. Je viens de comprendre quelque chose de très important.

Je me rhabillai en vitesse et courut vers la porte d'entrée.